"Dans une société fondée sur le pouvoir de l'argent, tandis que quelques poignées de riches ne savent étre que des parasites, il ne peut y avoir liberté réelle et véritable"LENINE
Conclusion de la brochure programmatique du PdT éditée pour le 1er mai, également rédigée par mes soins.
En tant que Parti des classes que le capitalisme opprime, le Parti du Travail lutte pour les exigences immédiates des exploités, mais notre programme va au-delà des propositions concrètes avancées dans les pages précédentes. Essayer de résoudre les problèmes que nous avons évoqués dans le cadre du capitalisme relève de la quadrature du cercle. En effet, le problème fondamental dont découlent tous les autres est la propriété privée sur les moyens de production, de crédit et d’échange. Notre ambition ne saurait donc nullement être de « réformer » ou de « mieux gérer » la société actuelle. Au contraire, nous estimons que l’intérêt des travailleurs est de détruire cette société, de renverser la bourgeoisie pour prendre le pouvoir, abolir le capitalisme et construire à la place une société socialiste, puis communiste.
Notre but fondamental est de rassembler les classes populaires pour renverser la domination des capitalistes, qui ne gouvernent que dans leur intérêt exclusif et par l’oppression d’une large majorité de la population. La démocratie populaire que nous voulons suppose de briser la machine de l’Etat bourgeois, fondée sur la séparation des pouvoirs où le peuple est réduit à un simple contrepoids et où le pouvoir réel appartient à une classe politique qui est majoritairement composée de représentants de la bourgeoisie, avec une prédominance d’une bureaucratie cooptée et qui n’a donc aucun compte à rendre au peuple et qui entretient des relations fusionnelles avec la bourgeoisie ; détruire la machine de l’Etat bourgeois pour la remplacer par une démocratie populaire dont l’organe de base serait le conseil des travailleurs, avec élection de toutes les fonctions de bas en haut et où les conseils des travailleurs détiendraient non pas une partie mais tout le pouvoir, ce qui permettrait que pour la première fois dans l’histoire suisse le pouvoir appartienne au peuple et non à une élite.
Cette nouvelle démocratie populaire aura pour but immédiat la socialisation de tous les moyens de production, de crédit et d’échange, afin de remplacer le marché par le plan centralisé comme instance régulatrice de l’économie ; ce qui permettra une production et une distribution en fonction des besoins de la société, sans aucune considération de profit, ainsi que l’abandon du dogme de la croissance pour une production respectueuse de l’environnement. Ce contrôle démocratique populaire sur la politique et l’économie permettra la suppression définitive de toute oppression et de toute exploitation afin de construire une société communiste, une société qui pourra inscrire sur ses bannières « de chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins », une société « où le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous ». (Karl Marx)
Notre but fondamental est de rassembler les classes populaires pour renverser la domination des capitalistes, qui ne gouvernent que dans leur intérêt exclusif et par l’oppression d’une large majorité de la population. La démocratie populaire que nous voulons suppose de briser la machine de l’Etat bourgeois, fondée sur la séparation des pouvoirs où le peuple est réduit à un simple contrepoids et où le pouvoir réel appartient à une classe politique qui est majoritairement composée de représentants de la bourgeoisie, avec une prédominance d’une bureaucratie cooptée et qui n’a donc aucun compte à rendre au peuple et qui entretient des relations fusionnelles avec la bourgeoisie ; détruire la machine de l’Etat bourgeois pour la remplacer par une démocratie populaire dont l’organe de base serait le conseil des travailleurs, avec élection de toutes les fonctions de bas en haut et où les conseils des travailleurs détiendraient non pas une partie mais tout le pouvoir, ce qui permettrait que pour la première fois dans l’histoire suisse le pouvoir appartienne au peuple et non à une élite.
Cette nouvelle démocratie populaire aura pour but immédiat la socialisation de tous les moyens de production, de crédit et d’échange, afin de remplacer le marché par le plan centralisé comme instance régulatrice de l’économie ; ce qui permettra une production et une distribution en fonction des besoins de la société, sans aucune considération de profit, ainsi que l’abandon du dogme de la croissance pour une production respectueuse de l’environnement. Ce contrôle démocratique populaire sur la politique et l’économie permettra la suppression définitive de toute oppression et de toute exploitation afin de construire une société communiste, une société qui pourra inscrire sur ses bannières « de chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins », une société « où le libre développement de chacun est la condition du libre développement de tous ». (Karl Marx)
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